Festival Atlantide 2020 : Portrait chinois d’Éléonore Pourriat.

Du 5 au 8 mars dernier se déroulait la 8ème édition du Festival littéraire Atlantide, au « Lieu Unique », à Nantes (France).

A cette occasion, « FemmeS du Monde magazine » étant présent, nous en avons profité pour proposer le jeu du portrait chinois à la fin de toutes nos interviews d’autrices, afin de vous les proposer, exclusivement sur notre site internet, en complément des interviews que vous retrouver dans quelques jours dans le numéro papier et numérique de mars 2020.

Vous les présentant dans l’ordre chronologique de nos réalisations d’interviews, nous commençons par la célèbre réalisatrice et scénariste Éléonore Pourriat, autrice de « Histoire d’Adrian Silencio ».

Eleonore Pourriat, déjà très connue pour son premier long métrage, entant que réalisatrice du film « Je ne suis pas un homme facile », produit et diffusé par Netflix, ainsi que pour ses scenarii des longs métrages de Benoît Cohen (« Nos enfants chéris » – film et série télévisée -, « Tu seras un homme », etc…), a ajouté la profession d’autrice, comme corde à son arc, en publiant, « Histoire de d’Adrian Silencio », en septembre 2019, chez JC Lattès – Le Masque. Et c’est à ce premier roman qu’était due sa présence au festival littéraire « Atlantide », qui avait lieu à Nantes (France), du 5 au 8 mars dernier.

« FemmeS du Monde magazine » a eu le plaisir et la chance de pouvoir l’interviewer le 6 mars et, ayant eu l’idée d’ajouter à l’interview proprement parlé, un petit « portrait chinois », spécialement pour une publication sur notre site internet, composé de cinq questions (dont la dernière diffère pour chaque autrice interviewée, adaptée à chacune), que nous sommes heureux de pouvoir vous proposer ce « petit plus », ci-après, couchée par écrit, mais également filmée – comme l’a été le reste de l’entrevue que vous pourrez retrouver dans les pages du numéro de mars 2020, dans quelques jours.

Christian Estevez

FemmeS du Monde magazine : Si vous étiez une œuvre ?

Éléonore Pourriat : Je crois que je serais probablement un morceau de musique. J’aurais envie de vous dire, aujourd’hui, « Poema », qui est un tango des années 1930, très nostalgique, qu’a joué mon grand-père, partout en Europe, avec son groupe de tango. C’est une musique qui m’a accompagné tout au long de l’écriture [de « Histoire d’Adrian Silencio »].

FMM : Si vous étiez une autrice autre que vous-même ?

Éléonore Pourriat : J’aimerais avoir le courage d’être Virginie Despentes.

FMM : Si vous étiez un auteur ?

Éléonore Pourriat : J’aimerais être un auteur de poésie. J’aimerais être Phillipe Jacottet, pour moi, le plus grand poète contemporain.

FMM : Si vous étiez un titre de livre ?

Éléonore Pourriat : « Une chambre à soi », de Virginia Woolf. Parce que je crois que l’on a besoin de créer cet espace pour écrire, délimiter et s’octroyer cet espace infranchissable.

FMM : Si vous étiez un film ?

Éléonore Pourriat : « Une femme sous influence », de Cassavetes.

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